Lien quotidien paroissial

Mercredi 24 février

Parole de Dieu du jour : Luc 11,29-32

Commentaire :

Consolez-vous avec l’histoire de Jonas ! Il est le seul prophète de la Bible qui commence par refuser sa mission, et le seul prophète mineur à être mentionné par Jésus. Pourtant, il débute de manière déplorable. Effaré par ce que Dieu lui demande, il se dirige aussi loin de Ninive que possible. Après l’avoir sauvé du ventre de la baleine, Dieu l’appelle à nouveau. Cette fois, Jonas répond. 

Lire la suite: Lien quotidien paroissial

Lien quotidien paroissial

Jeudi 25 février

Parole de Dieu du jour : Matthieu 7,7-12

Commentaire

Saint Matthieu fait appel à notre expérience de parents et à la façon dont nous sommes portés à donner à nos enfants le meilleur que nous pouvons leur offrir. Est-ce que je vois une invitation à une confiance plus profonde envers Dieu, lui qui a mon bien-être à cœur ?

Êtes-vous interpellé par ce texte ? Si c’est le cas, relevez le défi dans votre prière. Esprit Saint, aide-moi à comprendre ce que tu essaies de me dire. Aide-moi à vivre ce que tu enseignes. Apprends-moi à ouvrir mon cœur à une compréhension très différente de qui est Dieu et comment il nous regarde.

Notre temps de prière n’est jamais perdu !

Lire la suite: Lien quotidien paroissial

Lien quotidien paroissial

Mardi 23 février

Commentaire :


Pour faire comprendre son discours sur l’efficacité de la parole de Dieu, Isaïe emploie une image, celle de la pluie. Dans un pays gorgé de soleil, comme est Israël ou comme est Babylone, c’est-à-dire qu’il ne demande qu’à refleurir dès la première pluie, cette comparaison est particulièrement parlante : « La pluie et la neige qui descendent des cieux n’y retournent pas sans avoir abreuvé la terre, sans l’avoir fécondée et l’avoir fait germer, pour donner la semence au semeur et le pain à celui qui mange… ainsi ma parole, qui sort de ma bouche, ne me reviendra pas sans résultat, sans avoir fait ce que je veux, sans avoir accompli sa mission. »



Je m’arrête sur ce mot de mission : Isaïe avait compris une chose, c’est que la grande particularité de la parole de Dieu est d’être une parole de pardon et de réconciliation. Je vous lis les versets qui précèdent tout juste notre texte d’aujourd’hui : « Recherchez le Seigneur parce qu’il se laisse trouver, appelez-le puisqu’il est proche. Que le méchant abandonne son chemin, et l’homme malfaisant, ses pensées. Qu’il retourne vers le Seigneur qui lui manifestera sa tendresse, vers notre Dieu qui pardonne abondamment. CAR vos pensées ne sont pas mes pensées… » (Is 55, 6-9). La mission dont il est question dans le passage d’aujourd’hui (« ma parole ne me reviendra pas sans avoir accompli sa mission ») est donc une mission d’annonce du pardon gratuit de Dieu, et donc de réconciliation de l’humanité avec lui : Traduisez : Dieu finira bien par réconcilier l’humanité avec lui. Plus tard, Saint Paul ne dira pas autre chose : « Dieu notre sauveur, veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. » (1 Tm 2, 4).

Lire la suite: Lien quotidien paroissial

Lien quotidien paroissial

Samedi 20 février

Parole de Dieu du jour : Luc 5,27-32

Commentaire :

L’appel à suivre le chemin de Jésus suppose pour nous de lui faire confiance et de prendre un engagement. Lévi, ce collecteur d’impôts considéré comme un pécheur notoire, répond entièrement à l’appel en quittant son mode de vie pour suivre Jésus. Comment est-ce possible ? Peut-être parce que Jésus s’adresse à Lévi avec amour, pardon et totale acceptation. Lévi est appelé avec amour et il répond avec amour.


Jésus « remarqua » Lévi « assis au bureau des impôts ». Allons-nous « remarquer » ceux « qui ont besoin du médecin » ? Ceux qui ont besoin de guérison plutôt que de jugement ? À la suite de Jésus, «remarquons-les », offrons-leur un mot aimable, une oreille attentive, un sourire ou simplement des encouragements à de nombreuses personnes désorientées dans leur vie.

Les plus beaux textes sur Marie :

« Ne crains pas d’aimer trop la Sainte Vierge », de Thérèse de Lisieux

Il est parfois plus facile de se tourner vers Marie que vers Jésus. Son image de mère intimide moins que celle du crucifié. Les saints ne s’y trompent pas : ils savent qu’elle est un des chemins de plus sûr vers Jésus. Ils expriment pour elle leurs paroles souvent les plus affectueuses, les plus poétiques et les plus inspirantes. Comme cette prière de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.