Ce Dimanche de l’Octave est appelé traditionnellement le Dimanche de « Quasimodo », à cause des premiers mot latins du chant d’entrée de la messe : « Quasi modo ingeniti infantes » : comme des enfants nouveaux-nés (1 P 2, 2), faisant référence aux nouveaux baptisés de Pâques.
Depuis le 30 avril 2000, jour de la canonisation de Ste Faustine Kowalska (1905-1938) ce Dimanche porte le nom de « Dimanche de la Divine Miséricorde ». Cette institution repose sur une révélation privée de Jésus à Sr Faustine : « Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme […]. La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu’elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu’il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. » (Petit Journal, § 699)
La miséricorde est l’amour de Dieu manifesté en Jésus, cette tendresse divine qui pardonne au pécheur quand il se tourne vers Lui et qui appelle le pécheur à la conversion.
Pour aller plus loin, en ce temps de confinement, on peut relire avec profit la magnifique encyclique de St Jean Paul II sur la miséricorde divine, en cliquant ICI.