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Dimanche 7 mars

3e dimanche de Carême

Parole de Dieu du jour

L’Évangile d’aujourd’hui présente, dans la version de Jean, l’épisode où Jésus chasse les marchands du temple de Jérusalem (Jn 2, 13-25). Il fit ce geste en utilisant un fouet de cordes, il renversa les tables et dit: «Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de commerce!» (v. 16). Cette action décisive, accomplie à l’approche de Pâques, fit une grande impression sur la foule et suscita l’hostilité des autorités religieuses et de ceux qui se sentirent menacés dans leurs intérêts économiques. Mais comment devons-nous l’interpréter ? Certes, ce n’était pas une action violente, la preuve en est qu’elle ne provoqua pas l’intervention de représentants de l’ordre public: de la police. Non! Mais elle a été comprise comme une action typique des prophètes, qui dénonçaient souvent, au nom de Dieu, les abus et les excès. La question qui se posa était celle de l’autorité. De fait, les juifs demandèrent à Jésus: «Quel signe nous montres-tu pour agir ainsi?» (v. 18), c’est-à-dire quelle autorité as-tu pour faire ces choses? Comme pour demander la preuve qu’il agissait vraiment au nom de Dieu.

Pour interpréter le geste de Jésus de purifier la maison de Dieu, ses disciples utilisèrent un texte biblique tiré du psaume 69: «Car le zèle de ta maison me dévore» (v. 9); c’est ce que dit le psaume: «Car le zèle de ta maison me dévore». Ce psaume est un appel à l’aide dans une situation d’extrême danger à cause de la haine des ennemis: la situation que Jésus vivra lors de sa passion. Le zèle pour le Père et sa maison le conduira jusqu’à la croix: son zèle est celui de l’amour qui conduit au sacrifice de soi, et pas le faux zèle qui prétend servir Dieu au moyen de la violence. En effet, le «signe» que Jésus donnera comme preuve de son autorité sera précisément sa mort et sa résurrection: «Détruisez ce sanctuaire — dit-il — et en trois jours je le relèverai» (v. 19). Et l’évangéliste note : «Mais lui parlait du sanctuaire de son corps» (v. 21). Avec la Pâque de Jésus le culte nouveau commence, dans le nouveau temple, le culte de l’amour, et le nouveau temple est Lui-même.

L’attitude de Jésus racontée dans le passage évangélique d’aujourd’hui nous exhorte à vivre notre vie non pas à la recherche de nos avantages et de nos intérêts, mais pour la gloire de Dieu qui est l’amour. Nous sommes appelés à garder toujours à l’esprit ces paroles fortes de Jésus: «Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de commerce!» (v. 16). C’est très laid quand l’Eglise passe sur ce comportement de faire de la maison de Dieu un marché. Ces paroles nous aident à repousser le danger de faire également de notre âme, qui est la demeure de Dieu, un lieu de marché, en vivant dans une recherche incessante de notre profit plutôt que dans un amour généreux et solidaire. Cet enseignement de Jésus est toujours actuel, non seulement pour les communautés ecclésiales, mais aussi pour les individus, pour les communautés civiles et pour la société tout entière. En effet, il existe une tentation commune de profiter d’activités bonnes, qui sont parfois un devoir, pour cultiver des intérêts privés, voire illicites. C’est un grave danger, surtout quand il instrumentalise Dieu lui-même et le culte qui lui est dû, ou le service à l’homme, qui est son image. C’est pourquoi Jésus, cette fois-ci, a utilisé «les manières fortes», pour nous éloigner de ce danger mortel.

Informations paroissiales :

Messes en semaine

Mardi 9 Mars à 9h à Pontcharra ; Mercredi 10 Mars à 17h à les Sauvages ; Jeudi 11 Mars à 9h à Sainte Madeleine ; Vendredi 12 Mars à 17h à Dareizé

Messes du week-end du 13-14 Mars

Samedi 13 Mars à 16h30 à Pontcharra ; Dimanche 14 Mars à 9h à Joux ; 10h à sainte Madeleine ; 11h aux Olmes

Adoration du saint Sacrement :

Tous les samedis de 10hà 12h à sainte Madeleine, le saint Sacrement est exposé avec possibilité de faire une démarche du sacrement de la réconciliation

Panier du frère : à chaque messe -rappel – Merci de ne pas apporter de produits frais ou de fabrication maison

Agenda paroissial :

-Jeudi 11 Mars : le père Frédéric Benoist visite les classes des élèves du collège Notre Dame de Bel air (matin et après-midi)

-Samedi 13 Mars à 9h30 salle saint Joseph : rencontre de l’équipe de préparation aux baptêmes de la paroisse

-Samedi 13 Mars à 14h salle saint Joseph : rencontre de l’équipe de préparation aux mariages de la paroisse.

-Dimanche 14 Mars : le père Bruno Marie Duffé vient présider la messe de 10h à sainte Madeleine, d’intention pour toutes les victimes du Covid

-Dimanche 14 Mars à 11h30 dans l’église sainte Madeleine : baptême de Anna Lallemand et Gabin Nallet

LE COIN DES FAMILLES

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Voici les vidéos et la fiche pour la troisième semaine de Carême cliquez ou recopier le lien: Avec les vidéos de la semaine, nous sommes devant le Temple aux côtés de Jésus en colère. En effet, les marchands des animaux destinés aux sacrifices se sont installés dans ce lieu saint. Temple pour prolonger la découverte de cet évangile, avec une parole d’enfant « Chloé et les marchands du temple » et du le frère Raphaël nous explique pourquoi il n’y a plus de sacrifices dans la pratique de notre religion.
J’imprime la fiche d’activités (2 p.) Sur la fiche de la semaine à imprimer (en suivant le lien ou en PJointe), le commentaire, la prière et les activités prolongent la réflexion. En plus des jeux et des coloriages, on y retrouve une troisième pièce pour fleurir l’Arbre de Vie !
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   PARTENAIRE de Carême 2021

     Le CCFD vous partage ces projets.

    Une seule planète, une seule humanité, une seule solution, l’écologie intégrale. Le CCFD terre solidaire vous présente son projet au Pérou :

   Les communautés indiennes face aux impacts de l’industrie minière

                                    Mercredi 10 mars à 2021 , Connexion : https://200m.us/j/95691017905

Une quête pour le CCFD sera organisée le 20-21 à la sortie des messes. Les personnes qui le souhaitent pourront déposer leur enveloppe de dons

 « Un avenir pour les chrétiens d’Irak est possible en Irak »

 Alors que le pape François doit se rendre en Irak du 5 au 8 mars prochain Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient, revient sur l’enjeu essentiel de la pleine citoyenneté pour les chrétiens d’Irak.

Au moment d’écrire ces lignes, nous sommes encore pleins d’incertitudes sur le bon déroulement du voyage du pape François en Irak. Mais nous avons la conviction de son importance. Importance pour les chrétiens d’Irak qui sont ainsi rejoints dans leurs souffrances de ces dernières années et dans la légitimité de leur présence en Irak. Il existe quatre communautés principales, les chaldéens et les syro-catholiques pour les catholiques, et les assyriens et les syro-orthodoxes pour les non-catholiques, ainsi qu’un petit diocèse latin, arménien, et des protestants et des coptes.

Mais, d’emblée, la perspective de ce voyage a été située par le patriarche chaldéen Louis Raphaël Sako, en résidence à Bagdad, dans une perspective plus large. Ce voyage est au service de la population irakienne dans son ensemble, invitée par le patriarche à un renouvellement intérieur personnel et social qu’exprimera la rencontre interreligieuse à Ur, d’où est parti Abraham : les enfants d’Abraham, représentant les trois monothéismes, auront à cœur de s’y retrouver, de  

L’Irak a souffert depuis de trop longues années : violences contre les kurdes et les chiites, terrible guerre entre l’Irak et l’Iran, qui a fait sans doute un million de morts, les deux interventions des coalitions emmenées par les États-Unis, séparées par une longue période de sanctions économiques, sans doute aussi un million de morts dont 500.000 enfants, l’effondrement de l’État de Saddam Hussein, les horribles exactions de Daech, les incertitudes présentes, les milices trop nombreuses, les difficultés de l’État, la dureté de la vie que la pandémie n’a pas épargnée.

Et pourtant le patriarche Sako n’a pas ménagé sa peine pour faire entendre sa voix, claire et ferme, pour indiquer un chemin d’avancée pour tous les Irakiens. C’est bien au service de toute la population, et en particulier des nouvelles générations que le patriarche s’est engagé, en invitant à un sursaut et à promouvoir une pleine citoyenneté pour tous, quelle que soit l’appartenance religieuse. Il ne s’agit pas d’ignorer le fait religieux mais de donner toute sa place à ce dernier, et cependant ne pas le laisser s’introduire dans les affaires de l’État.

La pleine citoyenneté pour tous est donc le chemin du vivre ensemble en Irak, souhaitée par les chrétiens mais aussi par de nombreux musulmans kurdes ou arabes, sunnites ou chiites. La pleine citoyenneté est le seul chemin pour faire progresser le « vivre ensemble » en Irak. Les chrétiens ne sont pas la seule minorité à y aspirer. La pleine citoyenneté permettra d’éviter la constitution de groupes instrumentalisés par des influences extérieures, occidentales ou non, au profit du seul État irakien. Dans ce combat, les chrétiens peuvent être des acteurs ; leur voix est écoutée. Et ils en seront aussi, avec tous leurs concitoyens irakiens, des bénéficiaires.

 Nous sommes convaincus, après les drames de ces dernières années, qu’un avenir est possible pour les chrétiens d’Irak, en Irak. Mais les chrétiens ne sont pas une bulle isolée : leur avenir est lié à celui de tout l’Irak et, répétons-le, une grande partie des Irakiens musulmans souhaite cette évolution. La crédibilité de leur présence dans leur propre pays ne passe pas tant par une sauvegarde confessionnelle, comme s’il fallait préserver des réserves d’indiens, mais par le sens que leur présence a, au service de l’ensemble du pays dans lequel ils se trouvent.

Peu après la fin du pouvoir de Daech à Mossoul j’ai reçu de nombreux témoignages de jeunes adultes musulmans témoignant de ce qu’ils avaient souffert de Daech, exprimant leur désir d’un autre avenir, espérant un retour des chrétiens pour avancer sur de nouveaux chemins. D’ailleurs le patriarche Sako s’est rendu très vite à Mossoul. Il a acheminé des vivres pour la population épuisée et affamée par la guerre de libération. J’ai eu la grâce de l’accompagner. Il a visité sa maison familiale, et découvert qu’elle était occupée par une famille musulmane, apeurée, craignant d’être expulsée : le patriarche a su lui donner des paroles d’apaisement et lui dire de rester dans cette maison. Mais pour cette avancée positive de l’Irak il faut que la communauté internationale exprime son respect et sa confiance pour ce pays. Le Saint Père ne peut régler par lui-même les problèmes sécuritaires et économiques de l’Irak ; mais il peut contribuer à renforcer, chez chaque habitant, la fierté d’être irakien.  Ainsi et avant tout, les Irakiens ont besoin d’espérance et de confiance, sachant qu’il y aurait tout pour faire du pays une Mésopotamie heureuse.

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Dimanche 28 février

Deuxième dimanche de Carême

Commentaire du pape François

L’Évangile d’aujourd’hui, deuxième dimanche de carême, nous invite à contempler la transfiguration de Jésus (cf. Mc 9, 2-10). Cet épisode doit être relié à ce qui était arrivé six jours auparavant, quand Jésus avait révélé à ses disciples qu’à Jérusalem, il aurait dû « beaucoup souffrir, être rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, être tué et, après trois jours, ressusciter » (Mc 8, 31). Cette annonce avait mis en difficulté Pierre et tout le groupe des disciples, qui n’acceptaient pas l’idée que Jésus soit refusé par les chefs du peuple, puis tué. En effet, ils attendaient un Messie puissant, fort, dominateur ; au contraire, Jésus se présente comme humble, comme doux, serviteur de Dieu, serviteur des hommes, qui devra donner sa vie en sacrifice, en passant par la voie de la persécution, de la souffrance et de la mort. Mais comment peut-on suivre un Maître et un Messie dont la vie terrestre se serait conclue de cette façon ? C’est ce qu’ils pensaient. Et la réponse arrive précisément par la transfiguration. Qu’est-ce que la transfiguration de Jésus ? C’est une apparition pascale anticipée.

Jésus prit avec lui les trois disciples Pierre, Jacques et Jean et « les emmène seuls, à l’écart, sur une haute montagne » (Mc 9, 2) ; et là, pendant un moment, il leur montre sa gloire, gloire de Fils de Dieu. Cet événement de la transfiguration permet ainsi aux disciples d’affronter la passion de Jésus de façon positive, sans être bouleversés. Ils l’ont vu comme il sera après la passion, glorieux. Et ainsi, Jésus les prépare à l’épreuve. La transfiguration aide les disciples, et nous aussi, à comprendre que la passion du Christ est un mystère de souffrance, mais est surtout un don d’amour, d’amour infini de la part de Jésus. L’événement de Jésus qui se transfigure sur la montagne nous fait aussi mieux comprendre sa résurrection. Pour comprendre le mystère de la croix, il est nécessaire de savoir par avance que Celui qui souffre et qui est glorifié n’est pas seulement un homme, mais est le Fils de Dieu, qui par son amour fidèle jusqu’à la mort nous a sauvés. Le Père renouvelle ainsi sa déclaration messianique sur le Fils, déjà faite sur les rives du Jourdain après le baptême, et exhorte : « Ecoutez-le !» (v. 7). Les disciples sont appelés à suivre le Maître avec confiance et espérance, malgré sa mort ; la divinité de Jésus doit se manifester justement sur la croix, justement dans sa mort «de cette façon », à tel point qu’ici l’évangéliste Marc place sur la bouche du centurion la profession de foi : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu !» (15, 39).

Tournons-nous à présent en prière vers la Vierge Marie, la créature humaine transfigurée intérieurement par la grâce du Christ. Nous nous en remettons avec confiance à son aide maternelle pour poursuivre avec foi et générosité le chemin du carême.

                                                                                                                                              Pape François

Informations paroissiales :

Messes de semaine

Mardi 2 Mars messe à 9h à Pontcharra, mercredi 3 Mars messe à 17h à Ancy ; Jeudi 4 Mars messe à 9h à sainte Madeleine, Vendredi 5 Mars messe à 17h chapelle de Vindry

Messes dominicales :

Samedi 6 Mars à 16h30 à Pontcharra ; dimanche 7 Mars à 9h à saint Clément ; 10h à sainte Madeleine ; 11h à saint Romain de Popey.

Adoration du saint Sacrement : tous les samedis matin de 10h à 12h : exposition du saint Sacrement. Un prêtre est aussi à votre disposition pour une démarche du sacrement de réconciliation.

Vendredi 5 Mars à 10h30 : célébration de Carême avec les enfants de l’école saint Ferréol de Saint Forgeux

Samedi 6 Mars : journée de récollection avec les catéchistes de la paroisse en l’abbaye bénédictine de Pradines.

LE COIN DES FAMILLES

Évangiles selon Saint Marc 9, 2-10 : La transfiguration

Les vidéos de la semaine proposent le récit de la Transfiguration de Jésus, commenté par la petite Marthe et la réponse du frère Alexandre à la question de Théobule : « Jésus savait-il qu’il était Dieu ?

Jeux activités et coloriage à imprimer, le commentaire, la prière et les activités prolongent la réflexion sur ce grand passage de l’Évangile. On y retrouve aussi une deuxième pièce pour fleurir l’Arbre de Vie !

   MESSE EN MÉMOIRE DES DÉFUNTS DU COVID SUR NOTRE PAROISSE

A la demande du pape François, toutes les communautés chrétiennes sont invitées à prier pour toutes les victimes de la Covid 19 depuis un an.

Le père Bruno-Marie Duffé, secrétaire du Dicastère pour le développement humain intégral, conseiller spécial du pape François et originaire des Olmes, viendra célébrer la messe d’intention pour toutes les victimes de la Covid 19. Une lettre est adressée aux familles de notre paroisse .

PARTENAIRE de Carême 2021

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est CCFD.png.

Le CCFD vous partage ces projets.

Une seule planète, une seule humanité, une seule solution, l’écologie intégrale

Le CCFD terre solidaire vous présente son projet aux Philippines :

                       Faire face au dérèglement climatique

                                   Mercredi 03 mars à 20H

                            Lien de connexion : https://200m.us/j/95691017905

Contacts : Georges Garnier 06 32 15 50 12 – Suzanne Desgouttes: 06 82 39 50 36

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Dimanche 21 février

Premier dimanche de Carême

Parole de Dieu

Évangile selon St Marc 1, 12-15 « Jésus fut tenté par Satan, et les anges le servaient »

COMMENTAIRE

Mercredi dernier, le Carême a commencé avec le rite des Cendres, et c’est aujourd’hui le premier dimanche de ce temps liturgique qui fait référence aux quarante jours passés par Jésus dans le désert, après le baptême dans le fleuve du Jourdain. Saint Marc écrit dans l’Evangile du jour : « L’Esprit pousse Jésus au désert. Et dans le désert, il resta quarante jours, tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient » (1, 12-13). Avec ces brèves paroles, l’évangéliste décrit l’épreuve affrontée volontairement par Jésus, avant de commencer sa mission messianique. C’est une épreuve dont le Seigneur sort victorieux et qui le prépare à annoncer l’Evangile du Royaume de Dieu. Pendant ces quarante jours de solitude, il a affronté Satan « corps à corps », il a démasqué ses tentations et l’a vaincu. En lui, nous avons tous vaincu, mais il nous revient de protéger cette victoire dans notre quotidien.

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Dimanche 14 février

Textes de la liturgie du jour : Lévitique 13,1-2.45-46 ; Psaume 31 ; Lettre de Paul aux Corinthiens 1 Co.10,31-11,1 

Évangile de Marc 1,40-45

Commentaire :

En ces dimanches, l’Evangile, selon le récit de Marc, nous présente Jésus qui guérit tous les types de malades. Dans ce contexte, prend toute sa place la journée mondiale du malade, célébrée le 11 février,  en mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Lourdes. C’est pourquoi, avec le regard du cœur tourné vers la grotte de Massabielle, contemplons Jésus comme véritable médecin des corps et des âmes, que Dieu le Père a envoyé dans le monde pour guérir l’humanité, marquée par le péché et par ses conséquences.

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