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Dimanche 23 juin

Dans la liturgie d’aujourd’hui, on raconte l’épisode de la tempête apaisée par Jésus (Mc 4, 35-41). La barque sur laquelle les disciples sont en train de traverser le lac est assaillie par le vent et par les vagues et ces derniers craignent de faire naufrage. Jésus est avec eux sur la barque, mais il est à l’arrière sur un oreiller et il dort. Les disciples, effrayés, crient vers lui : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ?» (v. 38).

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Dimanche 23 juin

Dans la liturgie d’aujourd’hui, on raconte l’épisode de la tempête apaisée par Jésus (Mc 4, 35-41). La barque sur laquelle les disciples sont en train de traverser le lac est assaillie par le vent et par les vagues et ces derniers craignent de faire naufrage. Jésus est avec eux sur la barque, mais il est à l’arrière sur un oreiller et il dort. Les disciples, effrayés, crient vers lui : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ?» (v. 38).

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Dimanche 16 juin

Les paraboles que la liturgie nous présente aujourd’hui — deux paraboles — s’inspirent précisément de la vie ordinaire et révèlent le regard attentif de Jésus, qui observe la réalité et, à travers de petites images quotidiennes, ouvre des fenêtres sur le mystère de Dieu et sur l’histoire humaine. Jésus parlait d’une manière facile à comprendre, il parlait par images de la réalité, de la vie quotidienne. Ainsi, il nous enseigne que même les choses quotidiennes, celles qui parfois semblent toutes pareilles et que nous continuons à faire avec distraction ou fatigue, sont habitées par la présence cachée de Dieu, c’est-à-dire qu’elles ont un sens. Alors, nous aussi, nous avons besoin d’un regard attentif, pour pouvoir chercher et trouver Dieu en toute choses.

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Dimanche 9 juin

L’Evangile de ce dimanche (Mc 3, 20-35) nous montre deux types d’incompréhensions auxquelles Jésus a été    confronté : celle des scribes et celle de sa propre famille.

La première incompréhension. Les scribes étaient des hommes instruits dans les Ecritures Saintes et chargés de les expliquer au peuple. Certains d’entre eux sont envoyés de Jérusalem en Galilée, où la renommée de Jésus commençait à se diffuser, pour le discréditer aux yeux des gens : pour se faire les colporteurs de commérages, discréditer l’autre, lui enlever son autorité, cette vilaine chose. Et ils ont été envoyés pour faire cela. Et ces scribes arrivent avec une accusation précise et terrible — ceux-ci ne ménagent pas les moyens, ils vont droit au but et ils disent : « Il est possédé de Béelzéboul […] C’est par le prince des démons qu’il expulse les démons » (v 22). C’est-à-dire : le chef des démons est celui qui le pousse ; ce qui revient à dire plus ou moins : « c’est un possédé ». En effet, Jésus guérissait beaucoup de malades, et ils veulent faire croire qu’il le faisait non par l’Esprit de Dieu — comme le faisait Jésus — mais par celui du malin, par la force du diable. Jésus réagit avec des paroles fortes et claires, il ne tolère pas cela, parce que ces scribes, peut-être sans s’en rendre compte, étaient en train de tomber dans le péché le plus grave : nier et blasphémer l’Amour de Dieu qui est présent et agit en Jésus. Et le blasphème, le péché contre le Saint-Esprit, est le seul péché impardonnable — c’est ce que dit Jésus — parce qu’il part d’une fermeture du cœur à la miséricorde de Dieu qui agit en Jésus.

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